Hudson River Waterfront Walkway, Jersey City, 5 septembre.
On vit parfois de très graves drames personnels, comme par exemple quand on rate le concert d’Interpol célébrant les 15 ans de Turn on the Bright Lights au Trianon. Il arrive même que la vie ajoute une note ironique à ces très graves drames personnels, comme par exemple quand on rate le concert d’Interpol célébrant les 15 ans de Turn on the Bright Lights au Trianon parce qu’on est à New York.
Puisque c’est un des plus importants disques de ma discothèque, puisque c’est l’album de nuit par excellence et new-yorkais par essence et puisqu’il faut affronter l’adversité, j’ai fait ce soir-là toutes mes photos en l’écoutant1 pour me rapprocher du concert. Ce fut la meilleure soirée de mon séjour, et cela me donne un bon prétexte pour publier ces 5 photos2 une à une, accompagnées d’un titre de cet album qui a si souvent servi de bande-son ici ces 13 dernières années] [27 fois, vous pouvez recompter], et fêter son anniversaire comme il se doit.
Mais à part ça, rien.
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1 Qui était, à cette heure-là, terminé depuis deux heures. Mais qui irait écouter Turn on the Bright Lights en plein jour ?.
2 Alors que Turn on the Bright Lights comporte 11 titres. C’est idiot, mais c’est ainsi.