Every new beginning comes from some other beginning’s end, qu’ils disaient.
Les meubles partis, il ne reste rien, à part quelques traces rupestres laissées çà et là par une table ou un cadre. L’appartement dépouillé devient la page blanche sur laquelle un nouvel occupant écrira sa nouvelle ère. Les anciennes vies que nos lieux ont vécues et qu’ils nous taisent peu ou prou m’ont toujours fasciné ; Nous vivons là, sans savoir quels drames et quelles comédies ont pu se jouer dans nos murs un an, un lustre ou un siècle avant notre arrivée. Ceux qui partent emportent leurs souvenirs avec eux sans idée aucune de ce que viennent vivre ceux qui arrivent, et l’histoire du lieu s’éparpille comme les maillons perdus d’une chaîne brisée. On devrait équiper tous les appartements d’un journal de bord. Pour voir.
Mais bon, je m’égare.
Und jetzt, nach le XVIIIe.