Franz Ferdinand – Take Me Out (live Paléo 2009) (pour rester dans l’ambiance)
J’aurai donc vu Franz Ferdinand six fois. Trois fois au États-Unis, trois fois en France, quatre fois au complet, une fois avec un bassiste alimentairement intoxiqué, une fois avec un guitariste éclopé, une fois avec un batteur au twès twès gwosse beat, une fois devant un fouteballeur super-connu, une fois en ayant failli pas entrer, une fois en ayant dû se taper Good Charlotte, trois fois pour le premier album, une fois pour le deuxième, deux fois pour le troisième, six fois où c’était énorme.
Et donc, maintenant, une fois avec un chanteur moustachu.
[Un message personnel aux Cribs et leur renfort Johnny Marr pour leur dire qu’ils ont tout déchiré grave encore mieux que sur disque et que franchement bravo les gros.]