59e rue, New York, 10 mai.
The Dresden Dolls – Necessary Evil
[Ce titre est nase.]
Cette photo me perturbe parce que, comme la rue est bombée, le taxi n’est pas perpendiculaire au fond ; du coup il faut choisir entre un taxi de traviolle et un immeuble du fond de guingois pour redresser la photo et ça me perturbe. C’est sûrement pour ça que je me suis levé ce matin avec une envie de Dresden Dolls que je ne m’étais pas connue depuis trois ans, à tous les coups.
Ah sinon j’en ai une bien bonne : « C’est Horacio des Expeuwts qui enquête sur un meurtre au Conservatoire de musique de Miami. Il arrive sur la scène de cwime, ôte ses lunettes noires façon masque de la Méduse, regarde son assistant d’un air de chien battu et lui lance :
- « Alors, John Bewgel Johnelsson Dathelworth, a-t-on relevé des traces de luth ? »
- « Oui, Horacio, mais on n’a pas retrouvé le cor. »
Le premier qui s’avise de me la piquer avant que je la soumette à Carambar®, je lui fais les gros yeux à la Horacio.
J’oubliais : la photo me rappelle le générique des Y a-t-il un flic, je trouve.
Et à part ça, rien.