Williams Street, Ann Arbor, 5 mai.
Jay Reatard – It Ain’t Gonna Save Me
Je sais que mon titre craint mais voyez-vous ma bonne Marie-Ange j’ai pas le temps de le peaufiner car il faut absolument que je m’enquière des nouvelles aventures de Bill-de-Tokio-Hotel fraîchement revenu sous la forme d’un Michael Jackson ressuscité en Robocop écossais afin d’être prêt à recevoir en ces mêmes pages de chouettes beaux nouveaux mots-clés cet hiver, en fait. Vous me remercierez, plus tard.
En tout cas, voir Muse faire la couve de Spin en clamant qu’ils sont le plus gros groupe à propos duquel l’Amérique ne sait rien du tout1 au moment ou même leurs plus vaillants partisans des débuts s’en fatiguent, c’est quand même une vachement chouette illustration de la théorie des vases communicants. Allez lire l’article, on les y voit même montrer les dangers des combats inter-galactiques pour empêcher les enfants de se livrer à des jeux dangereux avec les sabres lasers en néon véritable de leurs parents.
Espérons juste que si Tokio Auberge s’expatrie aussi chez les Ricains, ils ne vont pas nous envoyer les Gros Nases Brothers en guise de représailles.
Ah et avant de partir allez voir ce truc tout juste envoyé par la Blogothèque c’est trop bien.
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1 Ce qui n’est pas vrai du tout, puisque les Magic Numbers sont bien plus gros et largement moins connus là-bas.
