ize proude tou présente
Le marché du rock juvénile allemand glabre se partageant dorénavant entre Tokio Hotel, KillerPilze, Panic (ex-Nevada Tan) et Cinema Bizarre, il me semble primordial de commencer à incorporer des informations concernant ces deux derniers afin de les voir apparaître dans cette rubrique ces prochains mois [et ainsi restaurer des stats de visites à en déroussir Boulet, au passage]. Ce mois-ci, nous commencerons donc avec nos amis androgynes d’Étrange Lanterne Magique.
Je crois que tu tiens là un impressionnant scoop.
N’oublie pas de faire l’alphabet entier avec ton moite organe buccal et de surtout bien lécher les joues, aussi, les garçons/filles/poney/Strify de Cinema Bizarre adorent ça.
Ils ont lancé une version de Gougle en ch’ti ou bien ?
… Ne vaut en aucun cas le poème que Kiro de Cinema Bizarre a écrit pour son singe-peluche Firo, dont il tient le nom, l’initiale ayant été remplacée par celle de son vrai prénom1.
Je sais, c’est la honte, même pour une daube comme Seven Nation Army.
Tu confonds avec l’Île de la tentation là, non ?
Ah tiens bonne idée de diversification d’activité, dis donc. Écrire au journal qui transmettra.
L’envoi de fichier MP3 sous pli électronique discret, je fais déjà. Écrire au journal qui transmettra.
Forever Or Never de Cinema Bizarre, car le message qu’elle véhicule, à l’image de leur album Final Attraction, un titre choisi en l’honneur de leurs idoles Europe, est : « Sois ce que tu veux être, vis comme tu l’entends, aime ta vie et profites-en, sois positif ! » et aussi « Habille-toi comme tu l’entends »1.
Ah tiens, second scoop de la journée. La semaine commence fort.
S’est tuée dans un accident de saut à l’élastique sans élastique en direct sur Radio Lausanne le 4 juillet 1958 dernier. Luminor de Cinema Bizarre a d’ailleurs écrit la chanson I Don’t Believe pour exprimer son dégoût face à cet immonde complot fomenté par la direction de Radio Lausanne, le parti Communiste russe et l’oncle de Fabi de KillerPilze.
L’envoi de fichiers Zip bien garnis sous pli électronique discret, c’est aussi possible. Écrire au journal qui transmettra.
J’ai pas compris mais une requête associant suicide et Kaulitz dans la même phrase mérite toujours d’être citée.
Tu feras moins ton malin sur la plage par 12 °C.
C’est une version moderne du cheval blanc d’Henri IV cette question ou bien ?
Hum, monsieur fait dans le porno-chic.
Le mariage. Pas avant le mariage. Et l’expression que tu emploies est ridicule.
Ahahah je savais que ça marcherait.
Tiens, voilà que les fans de Kings of Leon s’y mettent aussi.
Je ne me moquerai pas car moi aussi j’ai été jeune.
Merci, je lui dirai.
La moustache. Tout est dans la moustache. Attends que Yu de Cinema Bizarre, né le 29 décembre 1988 à Sulingen, en Allemagne, dont les chiffres préférés sont le 3, le 6 et le 9 et dont le premier emploi fut apprenti-masseur1 soit assez pubère pour s’en faire pousser une et on va voir ce qu’on va voir.
J’imagine bien le Bill coiffé comme Gérard Jugnot avec tout son talent dans sa moustache, tiens.
À force de raconter partout qu’il est homo, aussi, faut pas s’étonner.
En français, « Ping » se dit « ping » et « Pong » se dit « pong ».
… Sonne moins bien que « le penny de Damien Riz ».
C’est parce qu’ils ne sont pas aussi beaux et raffinés que les membres de Cinema Bizarre, au look japonais (sauf Luminor qui se distingue par un look gothique romantique) […] fortement inspiré par les mangas et le Visual Kei1.
Tokio Hotel et le trésor de l’île ; Tokio Hotel contre-attaque ; Tokio Hotel et lesCinema Bizarresaltimbanques ; Tokio Hotel et le vieux puits ; La locomotive de Tokio Hotel2 ; Tokio Hotel sort un album de musique ; Tokio Hotel a des poils.
Ah non ça compte pas, il n’a pas précisé « perdu à Paris avenue de la Motte-Piquet le 3 juillet » comme exigé ici.
Pécher des écrevisses. C’est sympa, les écrevisses.
Mais naaaaaaaaaaan, puisque c’est Cinema Bizarre, un groupe formé quand Kiro, Strify et Yu se sont rencontrés en 2005 à l’Animagic, célèbre salon Manga/Animation, qui rassemble tous les adeptes européens de bandes dessinées et de musique. Les deux autres membres les ont rencontrés par le biais d’Internet. L’alchimie entre les cinq garçons, qui avaient déjà tous participé à différents projets musicaux, les a tout de suite poussés à monter un groupe ensemble1, Cinema Bizarre, donc, le meilleur groupe de pop rock du monde.
C’était pas un fan, c’était Mika.
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1 Source Kikipédia.
2 Toute similarité avec la bibliographie du Club des Cinq n’est que pure coïncidence due à la ressemblance entre Bill de Tokio Hotel et Dagobert le valeureux épagneul breton.