Complétons l’enquête déjà menée par le NME :
- Il y a une faute sur le pendentif. Contrairement à ce qu’on croit, Djack ne commence pas par un D.
- Meg a l’air de savoir ce qu’est l’amour et ne se contente pas de faire ce qu’on lui dit.
- Il est évident ― mais on peut contester ce dernier argument du fait de sa datation approximative, prouvant par là l’utilité de s’ébattre sur l’édition du Detroit Free Press du jour pour aider le téléspectateur ―, La dame a l’air tout sauf angoissé.
- Si la vidéo était vraiment liée aux White Stripes, la règle cabalistique qui fait l’essence du groupe s’y appliquerait inévitablement : ils s’amuseraient à trois.
- Et pour finir ― et pour faire plaisir à ses détracteurs ―, on remarque bien que la dame de la vidéo fait preuve d’un sens du rythme inné.
J’oubliais, le lien pour ceux qui ne l’ont pas encore vue.
[N’empêche, si jamais le gars, c’est Jason Stollstheimer des Von Bondies, que la vidéo date de 2003 et que Jacques White a eu vent des ébats à l’époque, ça expliquerait peut-être la baston du Magic Stick. Hypothèse à explorer.]