Space mot-keys #4.

ize proude tou présente

Le choc :

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Ce qui s’appelle se faire mettre sa misère grave. Genre fait à peine autant que le traditionnel . Y’a pas à dire, le heavy metal chevelu a encore de beaux jours devant lui.

La courteliste :


  • Ça, ça sent le Breton bourré qui s’est aventuré sur Gougle très tard le soir en mangeant du Bolino1.
     

  • Je sais pas, je dormais.
     

  • Faut pas croire ce que disent les chansons, on vous l’a déjà dit.


  • Ahahah, y a un piège. T’as dit « chanteur » au lieu de « brailleur ».
     

  • Alors comme des millions de gens, deviens .
     

  • Tu fais preuve d’un courage que jusque là je n’ai. Tous mes vœux de réussite.
     

  • Mieux vaut voir ça avec la grande spécialiste de la question.
     

  • Sûrement un Québécois qui cherchait des photos de string.
     

  • Encore faudrait-il qu’ils aient eu le Brevet.
     

  • Il faut marcher. Longtemps. Et pas droit.
     

  • Y en a qui vivent des dimanche2 qui fouettent quand même. Mais faire ça devant Druker faut oser.
     

  • Chaînes en pain d’épice et Kro au chocolat pour tout le monde, sans oublier les carottes pour les montures.
     

  • A priori non. À moins qu’elle se soit lassée de ses voisins anglais.
     

  • T’as raison, faut s’y prendre tôt.
     

  • Tu as dû confondre avec Dany Boon.
     

  • Yo, c’est pas marqué « vendeur de la Fnac », là.
     

  • Je pas comprendre.
     

  • Il paraît qu’en ce moment on les trouve à la Sorbonne.
     

  • Ça fait du bien de voir qu’il existe des gens sensibles au Vrai Art.
     

  • Espèce de gros dégoûtant.


  • Pour ceux qui savent pas, le est l’équivalent lorrain du chipendale.
     

  • Il faudrait décidément que les autorités prennent des mesures face à la dauillomanie galopante qui s’empare actuellement de notre société [et surtout de ses doigts de pieds].
     

  • Ça change de Molko, note.
     

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1 Désolé pour la privette-jaûque incompréhensible mais c’était trop tentant.

2 Ça m’a fait réaliser au passage que dimanche et dominer on la même racine, puisque dimanche vient de dies Dominicus, « Jour du Seigneur », qu’on peut finalement peut-être traduire par « jour du dominateur », c’est à dire « jour où tu mets ta cagoule en cuir pour te faire fouetter », patin qu’est-ce qu’on se marrerait plus à la messe du dimanche si on était plus funkys avec les traduction latines, dis donc.