Le Point Éphémère, Paris, 2 mars, 21h36.
En 48h, j’ai pu:
- Mettre les pieds dans un tour-bus,
- Compter ses couchettes [14],
- Voir un amiche chantant avec la voix de Garth Algar se jeter dans une foule de groupies moites,
- Faire des estimations de taux de remplissage de couchette (en groupie/couchette)
- Louper un Eurostar,
- Être mis en demeure par la Préfecture de Police,
- Passer du rouge au vert,
- Entendre des cow-boys sur Mars,
- Causer avec un mec en costard à carreaux gris sortant tout juste d’un dégât des eaux,
- Subir une alerte-incendie avec le mec en costard à carreaux gris,
- Fuir le mec en costard à carreaux gris avant sa prochaine catastrophe,
- Me balader dans Londres plus de 10 minutes,
- Vider un appartement,
- Emplir une voiture,
- Passer pour un pédophile,
- Ne pas vider la voiture,
- Écrire un titre pour Nirvana,
- Tremper du thon dans du soja vinaigré auprès de gens super hi-tech parlant en codes,
- Coller 49 vignettes importées à grands frais du Québec sur mes touches pour assumer enfin au grand jour mon amour du clavier canadien multillingue standard,
- Écouter les Raconteurs,
- Réécouter les Raconteurs.
Voilà.
Bon.
Vais me re-réécouter les Raconteurs, moi.
The Raconteurs – Steady, as She Goes